Le monde et la démocratie ont besoin des journalistes
Le monde et la démocratie ont besoin des journalistes


La presse n’est pas morte et la démocratie a besoin des journalistes
- le journalisme, malgré les prédictions et le catastrophisme ambiant, n’est pas mort !
- il est en crise (journalisme écrit et TV) et en mutation et ses modèles économiques sont en refonte ;
- la révolution numérique : contrairement à la vulgate, les journalistes ont vu le Web comme une opportunité avant la bulle (97-2000) ;
- L’arrivée des blogs à ébranlé les rédactions, cependant les blogueurs ne sont pas des journalistes (même s’ils sont souvent soumis aux mêmes règles éthiques) ;
- les blogueurs se sont construits contre les journalistes et les deux mondes se sont opposés, mais nous sommes en train de sortir de ce combat ;
- la Presse était en crise bien avant l’arrivée d’Internet, car la publicité a été le modèle économique unique de la profession ;
- la profession fait partie des plus décriées (rejet des élites) ;
- l’iPad a généré un concert de louanges de la part des journalistes qui l’ont considéré comme « la bouée de sauvetage de la Presse » mais les choses ne sont pas aussi simples ;
- il faut revenir à la source, le mode de distribution ne suffit pas, et se reposer la question du vecteur différenciant en termes de contenus ;
- la tendance est de ne plus avoir qu’une rédaction (newsroom) et de différencier le canal en fonction du contenu ;
- les nouvelles générations sont aussi des lecteurs friands d’informations, mais surtout sur écran. Par contre, ils ont développé moins leur esprit critique que leurs aînés ;
- les journalistes peuvent encore se remettre au centre des débats