Grâce à Internet, Roger Gicquel est encore parmi nous
Roger Gicquel est un bon exemple de survie des médias de masse et de la façon dont l’Internet – lui aussi progressivement massifié tend à uniformiser les comportements et les approches.
Grâce à Internet, Roger Gicquel est encore parmi nous
Je sais, c’est à contre-courant mais c’est la vérité. Alain Beauvieux, inventeur du logiciel ami software, décortique les réactions de la toile après la mort du célèbre journaliste alors qu’on aurait pu croire que sa disparition laisserait la génération dite « Y » indifférente. Que nenni, voici que notre Breton déprimé du 20 heures déclenche une véritable tempête médiatique sur Internet :
Roger Gicquel est décédé.
Pour la génération Y, l’information demeure mystérieuse : heureusement Wikipédia leur permettra de découvrir ce qu’on vécu leurs parents : « Roger Gicquel, […] journaliste français, présente le journal de 20 heures de TF1 entre 1975 et 1981 ».
Qu’il a commencé sa carrière comme steward, qu’il passera par France Inter pour y commenter une revue de presse, avant de présenter le 20 heures sur TF1, et qu’il s’éteindra à 77 ans : voilà ce qui ressort de son réseau sémantique. Près de 10% des blogueurs emploieront à son égard le qualificatif de triste … et pourtant la mort l’associera à Patrick Topaloff, grand comique de son époque : c’est à ce dernier qu’appartient la chemise grise que l’on voit apparaître au dessus de la carte, près d’arrêt cardiaque, pour sa chanson « Où est ma chemise grise ».
> lire la suite de l’article sur Roger Gicquel sur le site de l’intelligence collective
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